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HTML5

Pourquoi écrire son site web en html5 ?
1° Il s'adapte aux écrans.
2° Il est open source.
3° Il se référence très bien auprès des moteurs de recherches.

Les langues numériques.
Histoirque:
Le html5 était encore une question, une utopie il y à trois ans. Steve Jobs nous avais prévenu; le format "Flash Player" est incompatible avec les nouveaux usages "mobile" du web 2.0 (et 3.0).

Pour faire simple le html(4) était une base, un support dans lequel on ajoutait des médias (vidéos, animations, images) propriétaire, quicktime, realPlayer, windows player, Flash player. Ces médias ont leur language propre, ils étaient ajoutés au language HTML.
Une situation devenue critique.

Evolution ou révolution ? HTML5, la future version du langage de création des pages Web, attise autant la curiosité, l’envie, que la méfiance. Il est le successeur de HTML4, normalisé par l’organisme de définition des standards World Wide Web Consortium (W3C) en 1997.

Le Web est donc resté 13 ans sans évolution de son standard fondateur, une éternité durant laquelle les sites ont évolué, parfois de manière non standard. Le consortium n’est pourtant pas resté les bras croisés, comme l’explique Daniel Glazman, cochairman du groupe de travail sur le langage CSS au W3C.



1997 - 2010 : 13 ans de travail sur XHTML2 et HTML5.

« Pendant toutes ces années, le W3C s’est d'abord focalisé sur XHTML 1.0 (la XML-isation de HTML 4), XHTML 1.1 (la même chose modularisée et qui n'intéresse quasiment personne) et surtout XHTML 2 en 2001 » retrace-t-il. XHTML 2 « tentait d'occuper le même espace et était supposé être plus propre que le modèle HTML d'origine ». Il était donc incompatible avec l’existant (HTML4 et XHTML 1.0), « ce qui aurait obligé tous les éditeurs de site Web à investir énormément de temps et d'argent pour évoluer ». Pendant ce temps, le HTML était laissé sur le bord de la route. « Le Working Group qui travaillait là-dessus ne voulait pas s'occuper de HTML4, tous les retours sur HTML4 et même les demandes d'harmonisation avec des standards plus récents (la programmation objet (DOM) par exemple) étaient rejetées.

ÉVOLUTION

Une nouvelle promesse pour le Web

Pour revenir dans la course, la norme HTML5 se devait donc de proposer des innovations importantes. D’abord, de nouvelles balises « sémantiques » censées mieux définir le contenu d’une page (entête [header], menu [nav], section de page [section], article, pied de page [footer]...). Ensuite de nouveaux types de contenus : l’audio, la vidéo, les animations 2D et 3D (canvas, pour créer des logiciels et jeux). Il étend aussi les interactions avec le système : le Web « hors ligne » (stockage de contenus et utilisation de sites hors connexion), l’édition de contenus dans la page, le glisser-déposer, la géolocalisation, la détection de l’orientation ou encore l’accès à la caméra. Pour Daniel Glazman, « le plus intéressant dans HTML 5 tient en deux morceaux : ces nouveautés et les trous de HTML 4 enfin comblés ». Pour Tristan Nitot, c’est aussi une bataille entre modèles propriétaires et libres. « Le vrai défi du Web, c'est de se montrer pertinent en tant que plate-forme de développement face à deux grands adversaires » commente-t-il. « Sur le bureau, les technologies propriétaires que sont le plug-in Flash et dans une moindre mesure Silverlight, et sur le mobile, les applications natives distribuées par les app stores. »


Le "petit" miracle

Flash est un logiciel interactif génial mais devenu problématique. Adobe à enfin répondu à nos attentes en le faisant évolué vers un nouvel outil; Animate.

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